Patrick Pineau s’empare avec enthousiasme de la farce burlesque de Nicolaï Erdman. La pièce est portée par une troupe remarquable. Le Figaro

Jubilatoire ! Le Progrès

Fidèle à la profonde nature de vaudeville qu’est Le Mandat, Patrick Pineau livre une mise en scène échevelée pour ses retrouvailles avec Erdman. Derrière les rires en cascade, la terreur des personnages face au nouvel ordre politique est abyssale. Sceneweb

Le Mandat résonne encore aujourd’hui à nos oreilles. Le public ne s’y trompe pas qui redouble de rires à l’évocation de phénomènes d’une histoire qui hoquète. La mise en scène est brillante, inventive, accélérée, portée par une troupe dont on ressent la grande cohésion, où pas un seul ne dénote. C’est un vrai bonheur d’intelligence et de générosité. Du théâtre comme on l’aime. Les Trois Coups 

Un tourbillon de vitalité et de rire. La Terrasse

Fidèle à la profonde nature de vaudeville qu’est Le Mandat, Patrick Pineau livre une mise en scène échevelée pour ses retrouvailles avec Erdman. Derrière les rires en cascade, la terreur des personnages face au nouvel ordre politique est abyssale. Nadja Pobel – Sceneweb