théâtre
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La presse en parle
Voila un seul en scène exceptionnel. Et inoubliable. Jean-Luc Porquet - Le Canard enchaîné
Johanna Nizard restitue brillamment l’exploration entre essai et fiction de Delphine Horvilleur sur les ravages de l’obsession identitaire. Hugues Le Tanneu - Transfuge
Mi-homme, mi-femme, mi-humaine, mi-créature, mi-inquiétante, mi-attachante, la comédienne Johanna Nizard se révèle assez subjuguante, presque magnétique, dans ce rôle à l’étrangeté certaine, où l’image et l’identité sont fluctuantes, mouvantes, littéraires en diable. Vincent Bouquet – www.sceneweb.fr
Au final, Romain Gary, Delphine Horvilleur et Johanna Nizard nous ont joué un joli tour de magie, celui, comme elle le dit, de « polluer toutes les identités ». Et si tu n'existais pas ? Christophe Airaud – France Télévision – rédaction culture